La respiration sacrée
Réapprendre à respirer, se retrouver, oser être dans tout son potentiel originel, oser être pleinement présent dans sa vie. Voici l’objectif. Le rebirthing est une technique puissante de guérison contemporaine créée par Léonard Orr qui a pour objet de libérer dans le corps physique notre mécanisme de respiration. Nous ne respirons qu’à 25 à 30% de notre capacité. On dit souvent que la manière dont nous respirons est un miroir de notre façon d’être dans la vie. En respirant à 25% de notre capacité, c’est comme si nous prenions le minimum pour vivre ou survivre. En savoir plus.
Les bénéfices
L’énergie retrouve alors de la place pour circuler, pouvant redonner tout son potentiel à notre mécanisme de respiration. Notre corps physique tout entier –muscles, fascias, cellules…– peut alors recevoir tout le potentiel énergétique du souffle, tout notre Être se retrouve mieux nourrit, ce qui va avoir un impact direct et immédiat sur notre santé physique, mentale et émotionnelle :
- 70% des toxines du corps sont éliminées par le souffle
- Diminution de la fatigue
- Apaisement du mental, diminution du stress
- Amélioration du sommeil
- Amélioration du système immunitaire
- Rééquilibrage du PH du sang qui détermine le terrain de développement des maladies
- Diminution des douleurs physiques chroniques
- Rééquilibrage du système nerveux sympathique et parasympathique
La respiration sacrée nous fait aussi vivre une expérience hors du mental – biologique, spirituelle, cellulaire, quelque chose qui nous sort du corps physique, du coeur et du mental. il transcende ces 3 espaces sacrés, les traversent nous permettant de nous sentir vivant, de nous reconnecter à notre plein potentiel.
C’est un véritable outil de retour à soi, à ce que j’ai vécu pour revenir à l’Être illimité que je suis. En respirant, en redonnant vie à mon système respiratoire, je réapprends à être là, à être vivant(e), à m’abandonner à la vie, à être là dans ma vie. La respiration sacrée éveille l’intelligence du coeur, du corps et de l’esprit.
